Magali Cotta est née au sein d’une famille très sensibilisée à l’art sous toutes ses formes.

Elle apprend très tôt le piano, a accès à des tas d’univers musicaux différents, embrasse une carrière de comédienne, et a donc tout le temps nécessaire de mûrir ce qu’elle souhaitait faire. Ce « Dune » en est l’aboutissement. Et c’est aussi une petite claque. Un album étrange, changeant de sexe, de couleur musicale, de langue à chaque titre, si ce n’est chaque minute. Le point commun entre les 13 titres ? Une forme d’electro hybride, pop, orchestrale, d’une beauté troublante. Impossible de ne pas penser à Woodkid sur quelques titres. Magali est une compositrice de génie, tissant des orchestrations riches avec des motifs electro et des influences worldisantes avec une facilité déconcertante, tout en s’attachant à la lisibilité de l’ensemble, et à y insuffler une certaine forme de groove. Vous connaissez sans doute l’expression « le cul entre deux chaises ». Eh bien, Canine est le rayon chaises d’Ikea à lui tout seul. Mais « Dune » est quand même un sacré disque, et il serait dommage de ne pas au moins essayer de l’apprivoiser. (Marc - Saint Amand)

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